Comme annoncé hier, voici la Deuxième étape : Aujourd’hui, c’est l’automne
Après l’été, il est profitable de regarder devant vous. A force de regarder derrière, on ne voit finalement que les freins… rarement les opportunités.
Pourtant, cette crise vous parle : Que vous dit-elle ?
Cette crise sanitaire vous permet, si vous le désirez, de saisir vos rêves… Rappelez-vous, la crise est une étape de l’évolution des êtres, il vous appartient donc d’en faire une étape constructive, constituante même de votre avenir, peut-être de votre mieux-être.
Si l’automne est une période de crise, la nature vous montre aussi qu’elle est aussi surtout, une grande période de récolte. C’est l’automne qui permet que nos tables soient agrémentées des meilleurs vins, des plus beaux légumes ou encore des magnifiques potirons ou encore des fruits secs ou agrumes qui nous donnent tant de vitamines ou d’oligo-éléments…
L’automne est donc une période riche et la crise (sans pour autant occulter ou oublier les souffrances et douleurs qu’elle génère) fait partie des richesses inattendues qu’elle apporte… Elle nous prépare, ou plutôt nous nous préparons à changer…
Alors, lorsque vous aurez bien regardé votre situation, cherché à définir vos rêves. Vous devrez vous poser la question du comment ? Mais pas avant d’avoir laissé flotter en vous cette aspiration que vous cherchiez à étouffer, pas avant d’avoir joué de la « baguette magique » qui permet de lever toutes les contraintes (en tous les cas, celles que l’on imagine et qui sont bien plus nombreuses, bien plus enfermantes, souvent que celles qui sont réelles).
Nos sociétés occidentales sont bien souvent trop pragmatiques et nous nous interdisons des rêves avant même de les formuler… Mais, cette fois, ne posez aucun interdit… libérez votre créativité, vos éventuelles frustrations… C’est maintenant le temps favorable puisque c’est le vôtre ! Ce temps, personne ne vous le volera. Ce rêve, personne ne le bridera. Personne, même, ne le commandera.
Vous êtes, quelle que soit votre histoire, quel que soit votre présent, vous êtes en situation de rêver, pour vous-même.
Quel risque prendriez-vous ?
Par contre, nous savons le risque de ne pas rêver… c’est de ne rien changer.
La manière de ne rien changer de ce qui nous déplait, c’est de ne pas imaginer que nous pourrions inventer d’autres formes de vie, plus heureuses… Ne rêvez pas, et vous serez certains et certaines de reproduire en sortant dans la rue, post-confinement, les mêmes gestes, les mêmes routines que ceux et celles qui vous coûtent… uniquement parce que vous n’aurez pas saisi l’opportunité de la situation.
Rêver ne coûte rien mais ça peut rapporter gros, surtout si ce rêve vous permet durant quelques jours encore de le passer au crible de la vie…
Rêver, et nous nous retrouverons bientôt, si vous le souhaitez pour découvrir
ce que nous pourrons faire de ce rêve…
Rendez-vous ici même demain pour envisager l’hiver.
Merci de vos réactions, suggestions, questions.